World Future Council : le Sommet sur le Climat à Paris. Nouvelles ressources: Nexus Climat / Nucleaire

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Le World Future Council (WFC), a été créé en 2007 sous les lois qui gouvernent les fondations allemandes par Jakob von Uexkull, le fondateur du ‘’Prix Nobel Alternatif’’.  J’y  suis associé depuis de nombreuses années. Il est concerné par les questions environnementales avec une attention particulière pour l’énergie solaire. La position du WFC sur le nucléaire est très discutée au sein du Groupe.

 


 

 

Sahel Sahara: limites de groupements régionaux

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L’assaut sanglant 20 Novembre sur l’hôtel de luxe, Blu Radisson à Bamako, au Mali a fait plus de 20 morts et une douzaine de blessés en plus de couteuses destructions matérielles. L’impact psychologique à court terme sera difficile à évaluer. Cet attentat s’est produit au pire moment pour le Mali et toute la région, alors que tous deux  s’efforcent avec vigueur à récupérer après une longue période d’instabilité. Cependant, une lancinante question demeure : pourquoi cette nouvelle attaque le jour même où se tient à Ndjamena au Tchad un sommet du Sahel G 5, un groupement régional? Ce n’est certainement pas une coïncidence, mais plutôt un avertissement fort.

 


http://lencrenoir.com/coup-detat-militaire-au-burkina-faso-par-les-spectres-de-blaise-compaore/

Burkina Faso: L’après coup d’état avorté

http://lencrenoir.com/coup-detat-militaire-au-burkina-faso-par-les-spectres-de-blaise-compaore/La tentative de coup d’Etat du 16 septembre 2015, au Burkina Faso, aura échoué. Le Régiment de sécurité présidentiel (RSP), commandé par le général Gilbert Diendéré, a été maté par les jeunes, les organisations de la société civile, les syndicats et les Forces armées nationales, notamment. A présent, le pays a trois défis à relever : remettre l’administration en marche, relancer l’économie et organiser des élections présidentielles et législatives couplées.

 

 

Sahel Sahara : face aux menaces globales.

Les dernières crises institutionnelles en Guinée Bissau et au Burkina Faso, ainsi que la poursuite des attentats meurtriers de Boko Haram, rappellent, de nouveau, la prévalence d’une insécurité, profonde et réelle, dans la région. Connectée avec l’insécurité mondiale. Cette insécurité et la stagnation politique sont également des conséquences d’une forme d’arrogance de certains gouvernements. Un comportement qui incite à l’extrémisme violent ! La réponse sécuritaire doit certes se poursuivre et se professionnaliser davantage mais aussi élargir son champ à l’action politique.