Interview DWE du 17 Fevrier 2014
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«La menace terroriste perdure dans le Sahel-Sahara. Les pays concernés doivent poursuivre leurs efforts pour soutenir les autorités maliennes», avertit Ahmedou Ould Abdallah, ancien Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies, dans une interview avec Le Courrier du Sahara.
Un an après l’intervention militaire française au Mali, les facteurs sous-jacents de l’extrémisme violent restent forts dans le Sahel Sahara. Bien que profondément atteints, en débandade et leurs activités plus ou moins gelées, les groupes armés conservent encore des capacités suffisantes pour contester les objectifs à long terme des interventions militaires extérieures.
À la veille du Sommet Afrique – Frances sur la paix et la sécurité, les 6 et 7 décembre à Paris, deux importantes questions s’imposeront à l’ordre du jour. D’abord, quelle sera la prochaine étape au Mali- Sahel et, en second lieu, quels liens en particulier avec la République Centrafricaine où Paris envoie des troupes de même qu’avec les autres points chauds : Egypte, Libye et Tunisie ?
Au Mali, 2012-13 a été une annushorribilis, une année horrible. Aujourd’hui, une lueur d’espoir existe avec le retour à la fois de la légalité et de la légitimité à la suite de l’élection d’un nouveau président et, surtout, du rétablissement de l’intégrité territoriale
Au Mali, 2012-13 a été une annushorribilis, une année horrible. Aujourd’hui, une lueur d’espoir existe avec le retour à la fois de la légalité et de la légitimité à la suite de l’élection d’un nouveau président et, surtout, du rétablissement de l’intégrité territoriale